C’est une promesse qu’elle avait faite en recevant son 4e Grammy Awards en 2019 pour Celia, album consacré à la diva américano-cubaine Celia Cruz : rassembler l’Afrique en dehors des frontières coloniales, générationnelles et linguistiques.
Elle avait juré d’inclure dans son oeuvre les jeunes artistes africains qu’elle a elle-même inspirés et qui sont devenus des as planétaires de l’afrobeats, de l’afro-pop, du dancehall, du hip-hop ou de l’alt-R&B comme Yemi Alade, Mr Eazy ou Burna Boy…
Angélique Kidjo a voulu souligner l’importance de la chaîne de transmission. Mais pour transmettre, il faut vivre, et vivre sans la Terre Mère n’est pas possible. À ce titre, Angélique aborde des causes dont l’urgence n’est plus à démontrer tels que le combat contre l’inégalité entre races et la lutte contre le réchauffement climatique, sources des tensions géopolitiques actuelles.
« Cet album est une lettre d’amour à notre Mère Nature et toutes les valeurs qui nous sont chères : la vérité, la confiance, l’amour et le lien ».