Luv Resval
Ses textes ? Ils convoquent le bitume des cités et la mythologie grecque. Son débit ? Mélodique et percussif… Luv Resval, 22 ans, confirme son talent singulier dans son nouvel album, Zalem.
Dans la catégorie très fournie et concurrentielle des jeunes tchatcheurs francophones à surveiller, il est celui dont le nom revient le plus souvent. Son nom d’artiste intrigant, « en référence au mot “luv”, l’amour en argot américain, et au serval, un petit félin africain qui se meut très vite », n’explique pas tout.
Un flow mélodique et percussif. Des textes cryptés, « pour évoquer mes vagues à l’âme et mes coups de nerfs », semblant toujours flotter en suspension entre monde réel et imaginaire : béton des cités, mythologie grecque, manga cyberpunk…
Télérama
Inspiré par les placements des meilleurs techniciens français tels que Nekfeu, Ninho ou Alpha Wann, en y ajoutant un côté mélodique et vaporeux venant de Laylow, ou encore Young Thug et Asap Rocky pour ses influences outre-Atlantique, Luv a perfectionné ses techniques au contact du plus grand producteur français, Kore, manager du Label AWA, pour produire une œuvre double qui parle aux jeunes en recherche de mélodies et de débit.
Gros Mo
Le rappeur perpignanais prévoit la réédition du Grozo Social Slub, suivie d'une tournée et d'une Boule Noire à l'automne. Sur cet album, il a collaboré avec plusieurs grands noms du rap français, notamment Nekfeu, Youssoupha, Jok'air, Chilla, Edge, 3010 mais aussi Ratu$ sur le morceau La cité, premier extrait de GZSC.